Conseils

  1. Une flexion de nuque supérieure à 20° entraîne une augmentation de la tension musculaire, l'écran informatique doit être orientable en hauteur et latéralement.
  2. Régler la hauteur et la position du plan de travail et adapter les outils pour viser une contrainte articulaire et musculaire minimale.
  3. L’éblouissement ou un éclairage insuffisant par rapport à l’activité sont susceptibles d’entraîner des positionnements répétés en contrainte articulaire.
  4. Un siège ergonomique a une durée de vie moyenne de 6 ans. Son amortissement revient à 0.05 € HT/heure et par salarié. Pour comparaison le coût moyen d'un TMS d'une épaule revient à 17000 € HT.
  5. Une souris ergonomique verticale permet à l'avant bras de garder une position naturelle. Son coût est environ 100 €.HT Le coût d'une TMS dû à la torsion du poignet est de 5 000 € HT.
  6. Une forte sollicitation du coude (mouvements répétés ou mauvaise posture) peut entraîner des douleurs. Ergorest conçoit du matériel diminuant ces sollicitations du coude.
  7. Les TMS guettent la population cadre, notamment du fait de l'utilisation quasi-permanente de l'ordinateur ; pensez à l'ergonomie de votre poste de travail.
  8. Les lombalgies représentent la première cause d’invalidité au travail chez les moins de 45 ans. Leur fréquence augmente avec l’âge. Adapter votre siège à votre type d'activité.
  9. Il n'existe pas de posture idéale : que l'on travaille assis ou debout, rester dans la même position pendant une longue période est pénible.
  10. La position debout statique n’est pas naturelle. Le Tapis antifatigue réduit la fatigue des jambes et du dos et stimule la circulation sanguine.
  11. Dans la position assis-debout, les courbures du dos sont respectées avec peu d’effort. Lorsque l’on s’assied, le bassin bascule en arrière, augmentant les sollicitations dans la région lombaire.
  12. Le partage d’un poste de travail où l’opérateur se tient debout exige davantage d’attention pour le réglage de la hauteur du plan de travail en raison de la différence de tailles entre les individus.
  13. La position assis-debout permet une meilleure répartition des appuis et serait moins contraignante dans le temps que les positions assis ou debout.
  14. La position assis-debout permet le passage sans effort à la position debout. Elle assure une bonne mobilité des membres supérieurs et permet d’utiliser une grande zone d’atteinte.
  15. Varier les positions, bouger. Il faut autant que possible moduler sa position et alterner des phases statiques (immobiles) et des phases dynamiques (mobiles) et ce, à son rythme.
  16. Un siège multi-réglages, associé à un plan de travail à hauteur variable, favorise le changement régulier de position et diminuent les effets néfastes des postures de travail au bureau.
  17. Les périodes de repos doivent servir à relâcher les muscles fatigués, à bouger les muscles tendus... Plus le temps de pause est court, moins il est recommandé de s’asseoir dans un siège profond.
  18. Lors d’une pause formelle de 5 à 15 min, un siège assis-debout ou assis convient. Lors d’une pause longue (15 min à 1 h), un fauteuil relaxant permet une meilleure récupération.
  19. Lorsque le travail ne peut se faire qu’assis Un repose-pieds peut être installé s’il est utilisé de façon intermittente.
  20. Les douleurs cervicales peuvent être dues à un écran placé trop haut ou trop bas par rapport aux yeux.
  21. Un appui continuel du poignet pendant la frappe ou une souris éloignée de l’opérateur constituent des situations à risque de TMS des membres supérieurs.
  22. Lorsque l’opérateur travaille à partir de documents papier, un porte-document (ou porte-copie) à hauteur minimise la fatigue de la nuque et des yeux.
  23. L'épaisseur et l'inclinaison du clavier doivent limiter l'extension des poignets, c'est pourquoi il n'est pas conseillé d'en déplier les pieds.
  24. Il est recommandé d'éviter de poser continuellement les poignets sur le bord du bureau pendant la frappe. Celle-ci doit donc être effectuée avec les poignets le plus souvent "flottants".
  25. Utiliser de préférence des souris informatiques non traumatisantes, sans préhension, ou verticales adaptée à la taille de votre main. Elles n'entraînent pas de douleurs posturales.
  26. Une souris informatique trop petite est néfaste pour votre main, elle va générer de nombreux gestes contraints et répétitifs à l'origine de troubles musculosquelettiques.
  27. Les séances d'assise avec un dos arrondi diminuent le flux d'oxygène et de nutriments parvenant aux tissus dans le dos, affaiblissent les disques et les ligaments.
  28. Une bonne posture d'assise diminue les tensions du dos, des épaules, du cou. Une bonne assise participe à la prévention des maladies professionnelles.
  29. La prévention des blessures est payante - pensez à l’ergonomie de votre poste de travail et à la qualité de vie au travail.
  30. Le siège selle SAllI est conçu pour éviter la compression et favoriser l'aération des parties génitales. Cette assise participe donc à rendre sa capacité de conception à l'homme.
  31. Un siège doit soutenir le poids de la partie supérieure du corps sur les ischions et les muscles et favoriser la circulation sanguine périnéenne. Essayez le Périnéos.

Source : GDLE ergonomie